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2 Timothée 1.6-12
6C'est pourquoi, je te le rappelle, ranime la flamme du don de Dieu que tu as reçu lorsque j'ai posé mes mains sur toi. 7En effet, ce n'est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d'amour et de sagesse. 8N'aie donc pas honte du témoignage à rendre à notre Seigneur, ni de moi son prisonnier, mais souffre avec moi pour l'Evangile en comptant sur la puissance de Dieu. 9Il nous a sauvés et nous a adressé un saint appel. Et il ne l'a pas fait à cause de nos oeuvres, mais à cause de son propre plan et de sa grâce, qui nous a été accordée en Jésus-Christ de toute éternité 10et qui a maintenant été révélée par la venue de notre Sauveur Jésus-Christ. C'est lui qui a réduit la mort à l'impuissance et a mis en lumière la vie et l'immortalité par l'Evangile, 11pour lequel j'ai été établi prédicateur et apôtre, chargé d'enseigner [les non-Juifs].
12Voilà pourquoi j'endure ces souffrances, mais je n'en ai pas honte, car je sais en qui j'ai cru et je suis persuadé qu'il a la puissance de garder le dépôt qu'il m'a confié jusqu'à ce jour-là.
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SOUFFRIR EN COMPTANT SUR LA PUISSANCE DE DIEU
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A méditer
L’imposition des mains n’est pas d’abord un rituel formel. C’est un beau geste de communion, de bénédiction, d’encouragement, de reconnaissance qui nous relie les uns aux autres. Un geste à vivre dans notre couple, avec nos enfants, dans notre communauté !Prier avec : le Psaume 126
1Chant des montées. Quand l'Eternel a ramené les déportés de Sion, nous étions pareils à ceux qui font un rêve.
2Alors notre bouche était remplie de rires, et notre langue poussait des cris de joie. Alors on disait parmi les nations: «L'Eternel a fait de grandes choses pour eux!» 3Oui, l'Eternel a fait de grandes choses pour nous, et nous sommes dans la joie.
4Eternel, ramène nos déportés comme tu ramènes les ruisseaux dans le Néguev! 5Ceux qui sèment avec larmes moissonneront dans la joie, 6celui qui marche en pleurant avec un sac de semence reviendra avec joie en portant ses gerbes.
La force faible
Être en prison est suspect et peut susciter de la honte. C’est probablement pour cette raison que « tous ceux d’Asie » ont abandonné Paul. Aussi, il rappelle à trois reprises qu’il n’a aucune honte d’être en prison. Au contraire, ses souffrances de prisonnier pour l’Évangile sont le signe de la puissance de Dieu. Habituellement, nous déclinons la puissance de Dieu en des termes glorieux : prodiges et miracles. Ici, Paul associe la puissance de Dieu à la souffrance qu’il endure en prison pour l’Évangile. Une puissance qui lui permet de supporter avec noblesse, courage, dignité et confiance, sa condition de prisonnier.Parler de lui est certes utile et vrai, mais Paul veut avant tout attirer nos regards vers Jésus, le Christ. Aussi énonce-t-il en deux versets un résumé saisissant de la foi chrétienne. Une foi fondée en Jésus-Christ qui a été désigné de toute éternité pour réduire à néant la mort et mettre en lumière la vie.